Dans quelques jours, je publie mon second livre intitulé : 1200 milliards sur la table : comment les prendre, créer des emplois, et faire de la France la Silicon Valley de 2030 ? aux éditions Michalon.
Je suis frappé de voir à quel point le débat économique en France tourne autour de la réduction des coûts ou de la flexibilisation du marché du travail. À l’évidence, accroître l’avantage concurrentiel suppose une maîtrise des coûts. Mais il est clair que si Google, Facebook, Amazon et Apple se développent, ce n’est pas parce qu’ils ont fait des produits moins chers. L’iPhone demeure le smartphone le plus onéreux. Quant à Google, on a du mal à imaginer qu’il se soit imposé en offrant une version « low cost » des Pages Jaunes. Autrement dit, ne porter l’attention que sur l’optimisation des coûts occulte une question qui reste au cœur de la troisième révolution industrielle que nous traversons : le rôle de la création de valeur.
Pourquoi n’en parlons-nous pas davantage ? Quelles sont d’ailleurs les technologies qui affichent le potentiel de création de valeur le plus significatif ?
Voici quelques-uns des enjeux que j’évoque dans mon livre. Et je vous donne un indice. Ce ne sont pas les technologies les plus citées qui s’avèrent les plus prometteuses.
[…] de précédents articles, j’ai évoqué que 7 technologies numériques devraient générer de l’ordre de 1210 milliards de dollars de création de valeur d’ici 2025, […]
[…] quel est l’enjeu de création de valeur de l’innovation numérique à moyen terme ? Et puis, quelles sont les technologies, en particulier, qui s’avèrent être plus prometteuses ? Et combien d’emplois pourraient […]